Le diabète touche une personne sur dix en Alsace. A Strasbourg, l'Institut Prévention Santé (IPS) fédère plusieurs structures tournées vers cette maladie. Marion Wetzel est chargée de communication interne et externe pour trois d'entre elles. La jeune femme raconte les richesses et les difficultés de son métier.

A l'heure où la réconciliation et la réunion de l'Art et de la Science sont prônées par bon nombre d'expositions, Jean-Marc Lévy-Leblond adopte une position plutôt sceptique vis-à-vis de ce mouvement.

Depuis leur arrivée en France en 2003, les blogs ne cessent de se multiplier. On en compte aujourd'hui près de neuf millions. Ces véritables vitrines du net offrent un aperçu de la vie de leur auteur, de ses passions ou de ses créations. Bon nombre d'entre eux son constitués de bandes dessinées ou d'illustrations. Bon nombre d'entre eux traitent des sciences. Plus rares sont ceux qui associent les deux. Parmi ceux-ci, le blog Tu mourras moins bête se distingue par son humour, son cynisme, et plus encore par son ton très... direct.

Son auteur, la dessinatrice Marion Montaigne, y répond aux questions parfois saugrenues que se posent les internautes sur les sciences les plus diverses. « Que se passerait-il si la Terre arrêtait de tourner sur elle-même ? » « Pourra-t-on un jour faire comme dans Jurassic Park et ressusciter les dinosaures ? » Médecine, Psychologie ou encore Balistique, aucun domaine ne résiste aux investigations de la vaillante héroïne qu'est le Professeur Moustache. Celle-ci n'hésite pas à employer les grands moyens : détournement des grands classiques du cinéma, célébrités tournées en dérision, gore et vocabulaire peu châtié au programme, le tout enrobé d'un humour caustique et particulièrement décapant, pour le plus grand bonheur des lecteurs.

Cette formule choc a séduit depuis 2008 plusieurs milliers de fans. En ferez-vous partie ?

Pour en savoir plus :
Site Tu mourras moins bête
Si vous avez aimé notre dossier, ne manquez pas cet épisode des aventures du professeur Moustache.

Le phénomène n'est pas nouveau. Dès le XVème siècle, des aristocrates amassaient des spécimens d'animaux naturalisés, vivants ou fossiles pour constituer leur propre galerie du vivant. Aujourd'hui encore, les collectionneurs parcourent le monde et les salles d'enchères à la recherche de la pièce rare, au grand damne des scientifiques. Mais attention, pour pratiquer cette activité, mieux vaut avoir un portefeuille bien garni et se méfier des trafiquants qui exploitent le filon juteux du marché de la science.

Le musée d’Histoire naturelle, avec ses rangées d’animaux naturalisés, est souvent dépeint dans l’imaginaire populaire comme vieillot, sombre, un peu désuet, voire franchement glauque. Pour satisfaire les goûts du public, il semblerait qu’il doive revoir sa présentation. Mais cela est-il possible et, avant tout, nécessaire ?