Le 8 novembre 2012 s'est tenu le premier Forum Recherche et Industrie sur le photovoltaïque organique à la Maison de la Région à Strasbourg.

La 6ème édition des Journées Européennes du Solaire se déroule du 13 au 18 mai 2013 en France. L'objectif : attirer l'attention de tous, particulièrement des scolaires, sur l'énergie solaire.

Rencontre avec le Dr. Élise Gaugler, médecin au Centre d'Addictologie des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg où l'alcool est le motif n°1 des consultations. Comment la médiation des sciences intervient-elle dans un examen médical ?

Noël et nouvel an sont propices aux longs repas en famille, ou entre amis. Foie gras, fromages et chocolats viennent orner les tables. À tout ceci s'ajoute l'un des symboles de la gastronomie française, le vin.

L'alcool, assimilé à la convivialité, fait fureur chez les jeunes. En France, toutes classes confondues, environ un collégien sur six dit avoir déjà connu une ivresse alcoolique (source : Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies).

Face à ce fléau, le gouvernement français agit sur deux fronts : la prévention et la taxation. Il joue la carte de la sensibilisation à l'aide d'images chocs présentant les risques encourus lors de la consommation d'alcool. Souvent  inefficace, ces messages sont vides de données scientifiques. À croire que le gouvernement sous-estime la capacité de réflexion et de compréhension de la jeunesse.

Courant 2013, l'État va très certainement doubler la taxe sur la bière. Celle-ci devrait rapporter près de 500 millions d'euros au profit de la Sécurité sociale. Par cette hausse, le gouvernement entend, certes, gonfler les recettes de la protection sociale, mais aussi « rendre ces produits moins attractifs, notamment pour les jeunes. La bière est massivement privilégiée par les jeunes qui décident de s'alcooliser», a déclaré M. Cahuzac, ministre du Budget. En plus de déconsidérer la jeunesse, L'État la prend en traitre, puisqu'il fait du profit par la même occasion. Ce que l'État ne sait peut-être pas c'est que la dépendance n'a aucune limite.

En lançant l'opération « portes ouvertes » sur son site officiel We the people, en septembre dernier, la Maison Blanche a pris un risque. Près de 12000 Américains ont déjà signé la pétition demandant au gouvernement américain de lever le voile sur l'affaire Roswell. Cependant il faut 25000 signatures pour obtenir une réponse.

Pour expliquer un tel attrait, il faut revenir sur l'affaire Roswell : le 2 juillet 1947, des témoins auraient vu un objet non identifié ressemblant à un disque, traverser le ciel puis exploser aux alentours de Roswell (Nouveau Mexique). L'affaire repose sur le double communiqué publié par l'armée américaine. Dans le premier, celle-ci affirme détenir les restes d'un OVNI. Le second est un démenti, il s'agit de débris d'un ballon-sonde météorologique. Il adviendra plus tard que le ballon-sonde était en réalité destiné au projet « Mogul » qui visait à espionner les essais nucléaires soviétiques. L'affaire fut classée « top secret ».

Pour mieux comprendre les faits, il faut nous replonger dans le contexte historique. En 1947, la seconde guerre mondiale qui a ravagé tous les continents prend fin et laisse place à la « guerre froide », une période de tensions et de confrontations entre les USA et l'URSS. Les USA qui détiennent et ont déjà fait usage de la bombe atomique tentent de calmer la paranoïa qui règne au sein de la population en dissimulant leurs actes derrières de soi disant phénomènes paranormaux. Plus de cinquante ans après les faits, les américains veulent la vérité.